VERMIFUGE CHEVAL
LES PARASITES DIGESTIFS ET LE VERMIFUGE CHEZ LE CHEVAL DE SPORT OU AU PRE
Qu‘est ce qu’un parasite digestif ?
Un parasite est un organisme, animal ou végétal, qui vit aux dépens d’un autre organisme vivant appelé l’hôte. Il lui porte préjudice mais ne le tue pas.
On distingue des parasites externes qui vivent sur la peau de leurs hôtes (poux, puces, tiques…) et des parasites internes qui vivent dans certains organes. Les parasites digestifs, ou encore helminthes, vont élire domicile au sein du système digestif de l’animal. Ils vont s’y nourrir et s’y reproduire.
Reproduction des vers
Tous les vers digestifs du cheval présentent un cycle de développement en deux phases:
- Une phase environnementale durant laquelle, lorsque les conditions climatiques sont favorables, les œufs pondus par les parasites éclosent. Ils se développent alors en larves qui vont infester les pâtures et les aliments des chevaux. Les larves peuvent survivre de plusieurs mois à plusieurs années, même à des températures proches de 0°c.
- Une phase parasitaire durant laquelle les chevaux vont manger les aliments et l’herbe contaminés par les larves. Ces dernières vont être avalés et digérés par le cheval. Au niveau de l’intestin grêle, les larves vont traverser la paroi digestive et migrer vers différents organes du corps pour continuer leur maturation. Chaque espèce migre vers un organe qui lui est propre. Une fois leur maturité atteinte elles retournent vers l’intestin grêle, pour la majorité, et se transforment en parasites adultes capables de se reproduire et de pondre des œufs qui seront évacués dans les crottins. Une fois à l’extérieur du corps, les œufs commenceront leur phase environnementale et la boucle sera bouclée.
Mode de contamination par les vers
Le principal mode de contamination se fait par l’ingestion directe des larves par le cheval. Les larves peuvent se situer dans les crottins, dans l’herbe, sur les murs des box, sur les poils de l’animal ou encore dans le lait maternel. Certaines larves peuvent contaminer leurs hôtes par le biais de piqûres d’insectes ou par migration à partir d’une plaie.
Diagnostic
Le diagnostic d’une contamination par des vers va se faire tout d’abord par l’observation de certains signes cliniques chez le cheval tels que un mauvais état général, un amaigrissement, un poil terne et piqué, des coliques ou des diarrhées récidivantes, la base de la queue abimée (cheval qui se gratte), des saignements au niveau de l’anus ou encore une toux répétée.
La présence d’un ou de plusieurs de ces symptômes ne signifie pas forcément que le cheval soit parasité mais il permet d’orienter le diagnostic. Pour avoir confirmation d’une infestation massive, plusieurs examens vont être nécessaires.
- La coproscopie: Cet examen permet de déterminer le nombre d’œufs présents dans les crottins mais ne permet pas d’évaluer le nombre de vers adultes présents dans l’intestin du cheval. De plus le cheval peut être infesté par de nombreux vers qui n’ont pas encore atteint le stade d’adulte. Ces larves ne se reproduisent pas et donc ne pondent pas d’œufs ! Pourtant elles sont bien présentes dans l’organisme de l’animal. Il faut également préciser que les gastérophiles ne pondent pas d’œufs dans l’intestin du cheval, ils ne seront donc pas diagnostiqués par ce procédé. Ce test ne sera alors pas déterminant pour estimer la gravité de l’infestation mais permettra d’orienter un premier diagnostic.
- La coproculture permet de mettre en culture les œufs trouvés lors de la coproscopie. Ainsi les œufs se transformeront en larves et il sera alors possible d’identifier le ver en cause afin de donner au cheval le traitement le plus approprié.
- L’analyse des prairies. Pour évaluer ce à quoi le cheval doit faire face, le mieux est de réaliser une analyse de la contamination par les larves des herbages. C’est un procédé lourd mais qui permet d’avoir une bonne évaluation de la quantité de parasites présents dans l’environnement du cheval.
- Une prise de sang. Un parasitisme élevé produit une réaction inflammatoire de l’organisme. Une prise de sang peut alors révéler une éventuelle anémie, un nombre de globule blanc trop élevé ou la présence de certains anticorps (IgG).
Prophylaxie
Un protocole strict et une certaine hygiène de vie permettra de limiter l’infestation massive des parasites digestifs chez les chevaux d’une écurie.
Pour les chevaux vivant au box il faut désinfecter régulièrement les box et les mangeoires. Les crottins doivent être ramassés quotidiennement et les box vidés une fois par semaine. Les crottins dans les paddocks doivent être ramassés au moins deux fois par semaine.
Pour les chevaux vivant au pré, il faut limiter le surpâturage. En effet, plus il y a de chevaux, plus il y a de crottins et moins il y a d’herbe. Les animaux sont donc obligés de manger à proximité de leurs crottins, ce qui est une cause importante de contamination. De plus, une herbe courte les oblige à couper l’herbe au ras du sol, or c’est à cet endroit que se situent les larves parasitaires. Plus il y a d’individus et plus la diversité des vers sera élevée. On dit alors qu’un cheval doit couvrir une surface d’hectare à lui seul! D’autres gestes quotidiens tels que ramasser les crottins deux fois par semaine, effectuer une rotation des prairies et ne pas mélanger les classes d’âge permet de diminuer les risques d’infestation. Le hersage n’est pas une bonne solution car il étale les crottins et dissémine les larves à travers toute la pâture. Avant d’épandre du fumier il est nécessaire de le laisser en compostage durant au moins une année car les larves sont tuées par les hautes températures.
Comment vermifuger son cheval
Un vermifuge est un médicament qui détruit les vers intestinaux par différents modes d’action, en fonction de la molécule utilisée. Les parasites morts se décrochent de la paroi intestinale et sont ensuite évacués par les crottins.
On distingue trois procédés de vermifugation préventive : par intervalle de un à deux mois, par saisons ou en administration permanente. Le plus couramment utilisé dans notre pays est la vermifugation saisonnière, c’est-à-dire deux à quatre fois par an.
Un cheval vivant seul au pré ne demandera pas la même prévention qu’un troupeau de dix chevaux vivant sur un hectare. Ainsi quelques règles permettent d’augmenter la réussite d’une vermifugation préventive. Tout d’abord, tous les chevaux de l’écurie ou du pré doivent être traités en même temps et avec la même molécule. En fonction de la saison il est nécessaire d’utiliser la bonne molécule qui détruit les larves ou les individus adultes. Avant d’accueillir un nouveau cheval au troupeau il faut le vermifuger et attendre au moins 10 jours avant qu’il ne retrouve ses congénères. De même pour un nouveau cheval à l’écurie, il faudra l’isoler au minimum durant une dizaine de jours après la vermifugation.
L’alternance des molécules antiparasitaires est importante pour limiter la chimiorésistance. Ce phénomène se déclenche lorsque les vers sont trop souvent au contact du même poison. Une utilisation trop fréquente ou répétée de la même molécule diminue ainsi son efficacité. Dans ce cas de figure le cheval est toujours parasité malgré l’administration de vermifuge. Une chimiorésistance se développe également lorsqu’il y a sous dosage ou sur dosage du vermifuge. Il est donc important de bien respecter la posologie affichée.
Pour qu’une vermifugation soit plus efficace, une coproculture peut être régulièrement effectuée sur un lot de chevaux afin d’identifier les vers les plus présents dans cet environnement.
Un cheval présentant des signes d’une infestation massive de vers intestinaux nécessitera une vermifugation curative. Le protocole doit être établi par votre vétérinaire en fonction de la quantité de vers et de l’espèce en question. Il est dangereux de vermifuger un animal malade soi-même car la destruction massive et rapide d’une grande quantité de vers peut produire une endotoxémie. Une fourbure, une colique ou encore la mort de l’animal sont alors à redouter.
Grands strongles | Petits strongles | Ascaris | Oxyures | Gastérophiles | Ténia | SW | ||||
A |
L |
A |
L |
|
A |
L |
|
|
|
|
Oxibendazole |
++ |
|
++ |
|
++ |
++ |
|
|
|
|
Mébendazole |
++ |
|
++ |
|
++ |
++ |
|
|
|
|
Trichlorfon |
|
|
|
|
++ |
++ |
++ |
++ |
|
|
Fenbendazole |
++ |
+ |
++ |
+ |
++ |
++ |
+ |
|
|
+ |
Thiabendazole |
++ |
+ |
++ |
+ |
++ |
++ |
+ |
|
|
|
Fébantel + Trichlorfon |
++ |
+ |
++ |
+ |
++ |
+ |
++ |
++ |
|
|
Pyrantel |
++ |
|
++ |
|
++ |
++ |
|
|
|
|
Moxidectine |
++ |
++ |
++ |
++ |
++ |
++ |
++ |
++ |
|
++ |
Praziquantel |
|
|
|
|
|
|
|
|
++ |
|
Ivermerctine |
++ |
++ |
++ |
+ |
++ |
++ |
++ |
++ |
|
++ |
Tableau 1: action des molécules antiparasitaires
Quand vermifuger son cheval
Les larves de strongles, d’ascaris et d’oxyures commencent à contaminer les chevaux dès le printemps et jusqu’à l’automne où l’infestation est maximale. A l’arrivée du printemps les larves de petits strongles enkystées durant l’hiver s’éveillent et reprennent leur cycle de développement. Il faut donc traiter le cheval dès le printemps pour tuer ses larves. Une vermifugation à l’automne permet de tuer les larves et les parasites adultes qui ont contaminé le cheval durant tout le printemps et l’été. Il est possible de vermifuger son cheval également l’été pour ne pas tuer tous les parasites en un seul coup à l’automne, ce qui peut être dangereux en cas d’infestation massive.
L’infestation par le ténia est maximale en automne et en hiver. C’est à ce moment qu’il est le plus judicieux de vermifuger son cheval contre ce parasite.
Les gastérophiles contaminent l’estomac des chevaux durant l’été et le début d’automne lorsque les mouches pondent leurs œufs sur les poils des chevaux. Le mieux est de vermifuger son cheval lorsqu’il n’y a plus de mouche, c’est à dire en automne.
Attention car une vermifugation excessive peut être nuisible. Ce sont des produits chimiques qui peuvent abimer la flore intestinale, déjà fragile, de votre cheval.
|
Taille vers |
Période prépatente |
Organes cibles |
Symptômes |
Lésions |
Diagnostic |
Grands strongles : strongylus vulgaris | M: 26 à 35mm
F: 38 à 55mm |
6 à 7 mois | Maturation dans les grosses artères (mésantérique crâniale, caeliaque)
Adulte; sur la muqueuse du caecum |
Fatigue, anorexie, anémie, coliques plus ou moins sévères, hyperthermie | Ulcération muqueuse du gros intestin
Saignement dans les selles Epaississement et rétrécissement des artères. (anévrisme) |
Les symptômes ne sont pas caractéristiques
Coproscopie ne différencie pas les œufs de strongles Coproculture Palpation transrectale pour déceler les anévrismes |
Grands strongles : strongylus edentatus
|
M: 23 à 28mm
F: 33 à 44mm |
11 mois | Maturation dans le foie et le péritoine hépatique
Adulte; sur la muqueuse du caecum et du côlon ventral
|
-douleur flanc droit, démarche hésitante et appréhension à mobiliser le postérieur droit
– anémie -péritonite |
Ulcérations muqueuse intestinale
Hhémorragies locales Oedèmes hémorragiques au niveau péritonéal Villosités fibreuses du foie |
Idem |
Grands strongles : strongylus equinus | M: 28 à 35mm
F:38 à 55mm |
9 mois | Maturation dans le foie et le pancréas
Adulte; sur la muqueuse du caecum et du côlon |
Peu de signes cliniques
Importante éosinophilie |
Ulcérations muqueuse intestinale
Hémorragies locales Kystes pancréatiques Villosités fibreuses du foie |
idem |
Petits strongles | M: 5 à 7mm
F: idem |
6 à 14 semaines
Plusieurs années lorsqu’elles s’enkystent |
Maturation dans la paroi intestinale
Adulte; sur la muqueuse du caecum et du côlon |
Syndrome de diarrhée profuse
Amaigrissement progressif Coliques modérés ou intenses Hyperthermie Oedèmes des membres |
Ulcérations, congestion et œdèmes de la muqueuse intestinale | Idem
lors des diarrhées aigües on peut trouver la présence de petits strongles dans les fèces |
Ascaris | M: 15 à 27cm
F: 18 à 37cm |
10 à 16 semaines | Maturation dans le foie puis les poumons
Adulte; muqueuse de l’intestin grêle |
Toux, jetage nasal
Pneumonie Pelage terne Diarrhées Coliques Apathie Anorexie Trouble tendineux et osseux |
Hémorragies et lésions fibreuses du foie
Occlusion partielle ou totale de l’intestin qui peut évoluer en perforation intestinale |
Endoscopie digestive pour voir les vers
Coproscopie met en évidence les œufs de cette espèce |
Oxyures | 9 à 12mm | 5 mois | Maturation dans le côlon
Adulte; les femelles vivent dans le rectum pour pondre leurs œufs autour de l’anus |
Lésions cutanés et plaies sur la base de la queue et autour de l’anus dues aux frottements intensifs du cheval. | Lésions inflammatoires de la muqueuse du gros intestin
Lésions cutanés |
Présence d’œufs en région péri-anale
Lésions cutanées et dépilation de la queue « scotch-test » pour analyse au microscope |
Ténias | De 4cm à 80cm | 6 à 10 semaines | Maturation dans l’organisme de certains acariens (oribates)
Adultes; valvule iléo-caecale |
Varient avec le nombre de parasites. Aucun signes (<25), coliques plus ou moins marquées | Ulcères de la muqueuse intestinale allant jusqu’à la nécrose et la rupture intestinale (>200) | Les symptômes ne sont pas caractéristiques
Coproscopie met en évidence les œufs de cette espèce Tests sérologiques |
Gastérophiles | Petites mouches | 1 an | Maturation sur la racine de la langue et la muqueuse de l’estomac
Adulte; mouches |
Coliques d’intensité modérée
Chevaux qui salivent et mâchent longuement Dermite estivale Baisse de forme Amaigrissement |
Volume de l’estomac peut diminuer de 50%
Ulcères au niveau des lèvres et de la bouche Inflammation chronique de la muqueuse gastrique et duodénale |
Endoscopie digestive
Présence d’œufs sur les poils des chevaux |
Strongyloides westeri | F: 0.7 à 9mm | NC | Maturation dans les poumons, la trachée, l’estomac et l’intestin
Adulte; sur la muqueuse intestinale |
Diarrhées aigües
Amaigrissement Anémie Troubles respiratoire (toux, hémorragies, détresse respiratoire) Irritations cutanés |
Forte réaction inflammatoire de la muqueuse intestinale
Lésions cutanés |
Coproscopie pour voir les larves |
Le point de vue ostéopathique
L’ostéopathe peut avoir une influence sur la capacité du cheval à lutter contre les parasites digestifs. En effet plus un animal ressent de la douleur physique, liée à des blocages articulaires, plus son système immunitaire est faible et plus sa capacité à lutter contre les effets indésirables des vers est limitée. Un cheval bien dans son corps sera moins affaibli par les parasites digestifs !
A l’inverse une parasitose élevée peut entrainer des blocages articulaires au niveau des thoraciques et des lombaires, blocages que l’ostéopathe ne pourra peut-être pas traiter dans un premier temps. Il faudra, tout d’abord, débarrasser l’organisme des vers pour ensuite soulager le dos.
» La bonne santé d’un animal dépend essentiellement de l’observation, du bon sens et de la persévérance de son propriétaire. «
LE PERU France
Ostéopathe animalier
Départements 77,89,10,45,91,94
Parasitisme : la vermifugation et ses alternatives naturelles
La lutte contre le parasitisme des chevaux est l’une des actions annuelles qui demande le plus d’attention de la part du propriétaire. Les parasites digestifs sont un vrai danger pour la santé équine puisque certaines infestations peuvent considérablement détériorer l’état général du cheval, voire lui être mortelles.
Pour éviter cela, il est indispensable de protéger son compagnon du parasitisme en le vermifugeant plusieurs fois par an.
Comment lutter contre le parasitisme ?
La lutte contre le parasitisme des chevaux est l’une des actions annuelles qui demande le plus d’attention de la part du propriétaire. Les parasites digestifs sont un vrai danger pour la santé équine puisque certaines infestations peuvent considérablement détériorer l’état général du cheval, voire lui être mortelles.
Pour éviter cela, il est indispensable de protéger son compagnon du parasitisme en le vermifugeant plusieurs fois par an.
Comment lutter contre le parasitisme ?
Outre la mise en place d’un protocole de vermifugation adapté, il est important de prévenir le sur parasitisme en diminuant la charge parasitaire de l’environnement dans lequel évolue le cheval.
• au box :
– Enlever les crottins, curer et nettoyer les mangeoires régulièrement
– Vider entièrement le box avant tout changement de cheval
• au pré :
– Entretenir les prés (ramassage des crottins)
– Éviter le surpâturage
– Si possible, effectuer régulièrement une rotation des pâtures
– Vérifier la propreté du bac à eau
Comment savoir si votre cheval est parasité ?
Les parasites sont tous les vers et les larves qui se développent dans l’organisme de votre cheval. Tous les chevaux hébergent et vivent très bien mais au-delà d’un certain seul de vers et de larves, le cheval est infesté. On parle alors de sur-parasitisme.
Les signes de sur-parasitisme sont difficile à détecter car ils sont très discrets et aléatoires selon les parasites. Un cheval parasité peut avoir le poil piqué, un gros ventre, être fatigué, présenté une baisse d’appétit et une perte d’état, avoir de la fièvre et la diarrhée. Le cheval infesté peut aussi enchaîner les coliques sans raison apparente. Toutefois, de nombreux chevaux ne présenteront aucun de ses signes et contribueront à la contamination de leur environnement.
Pour en avoir le cœur net, faites appel à votre vétérinaire qui effectuera les analyses nécessaires comme une « coproscopie », c’est-à-dire une analyse des crottins du cheval. Les résultats permettront de savoir s’il est infesté ou non, et si c’est le cas, de connaître le degrés de contamination.
La vermifugation
Un protocole de vermifugation doit être mis en place avec l’accord de votre vétérinaire.
En règle général, l’équidé doit être vermifugé au minimum deux fois par an. Dans des cas exceptionnels, des vétérinaires expliquent que cela peut aller jusqu’à six vermifugations pour les chevaux et poneys vivant au pré. Le protocole est donc propre à chaque individu et dépend de son mode de vie et de son environnement.
Il est conseillé d’effectuer un drainage après chaque vermifuge afin d’éliminer les toxines générées par les parasites lors du traitement.
Les alternatives aux vermifuges chimiques et les « vermifuges » dits naturels
Malgré les gestes de prévention et la vermifugation régulière, il est impossible de détruire 100% des parasites vivant dans l’organisme du cheval. De plus, les vermifuges chimiques classiques peuvent s’avérer inefficaces sur certains vers, d’où l’importance d’alterner les types de vermifuges.
Il peut donc être intéressant, en complément du protocole classique, d’associer des produits anti-parasitaires naturels.
Le Paturon vous propose une gamme de produits à base de plantes dont les vertus sont doubles :
– ils optimisent et renforcent les défenses immunitaires naturelles des chevaux afin de les aider à lutter eux-mêmes contre les vers
– ils possèdent des propriétés naturelles à l’action anti-parasitaire
L’ail est LA plante médicinale par excellence. Outre ses vertus sur les fonctions respiratoires, l’ail dope les défenses du cheval, active le système digestif en cas de perte d’appétit, purifie le système digestif et lutte contre le parasitisme.
La spiruline est une algue microscopique extrêmement riche en protéine et très complète. Elle contient de nombreuses vitamines (B1, B2, B6, B12, biotine, E…), des minéraux (fer, calcium, magnésium, phosphore, potassium…), et l’ensemble des acides aminés essentiels ainsi que des antioxydants et oméga 3 et 6.
Elle est un excellent fortifiant naturel qui renforce à la fois les défenses immunitaires et améliore la résistance.
Pour l’hygiène intestinale de votre cheval, découvrez notre gamme de produits naturels.
Pourquoi mon cheval a-t-il des vers ?
La plupart du temps, le cheval ingère directement des larves qui se trouvent dans l’herbe, dans le box ou dans les crottins. Il est également possible que ces larves apparaissent après une piqûre d’insecte ou en s’introduisant par une plaie.
Comment vermifuger mon cheval ?
Il est conseillé de toujours faire appel à un vétérinaire spécialisé pour vermifuger votre cheval. Les propriétaires aiment aussi ::
Pourquoi choisir un vermifuge ou une alternative ?
Depuis 2010, Le Paturon propose des solutions rapides et efficaces pour les chevaux. Les marques expertes développent des soins naturels pour le bien-être et le confort de votre cheval. Le Paturon est spécialisé dans les produits digestifs et la phytothérapie equine.